Prendre des décisions sans prévision, c’est comme conduire sans freins
Vous avez déjà signé un devis sans vraiment savoir s’il allait vous rapporter de l’argent ?
Ou embauché quelqu’un parce que vous “sentiez que c’était le moment” ?
Soyons honnêtes : c’est le quotidien de nombreux dirigeants de TPE.
Le problème, c’est que ce pilotage à l’instinct, sans simulation, finit souvent par taper dans la trésorerie.
Le prévisionnel n’est pas un exercice théorique ou réservé aux experts-comptables.
C’est un outil de survie pour votre entreprise.
Et surtout : un vrai levier pour reprendre le contrôle.
👉 Vous doutez encore de son impact ? Laissez-moi vous raconter un cas concret.
Exemple client : une embauche évitée, une entreprise sauvée
Jean (prénom modifié) est artisan à son compte, en Gironde. Début 2024, il a un carnet de commandes bien rempli. Il veut embaucher un ouvrier supplémentaire.
Intuitivement, il pense que c’est une bonne décision.
Mais après une séance de pilotage ensemble, on pose un prévisionnel réaliste. Résultat :
- Son taux de marge réel ne couvre pas les charges supplémentaires.
- Il y a une baisse d’activité prévue en été, mais pas encore ressentie.
- Et sa trésorerie allait passer dans le rouge dès septembre.
Ce qu’il croyait être un pas en avant, c’était un risque de bascule en arrière.
Grâce au prévisionnel, il a fait un autre choix :
optimiser ses chantiers, revoir ses prix… et embaucher plus tard, au bon moment.
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Le vrai rôle du prévisionnel : éviter les erreurs, pas prédire l’avenir
Faire un prévisionnel, ce n’est pas essayer de lire dans une boule de cristal.
C’est poser les choses sur la table :
- Quelle est votre capacité réelle à financer une embauche, un achat, un changement ?
- Que se passe-t-il si un chantier glisse de 30 jours ?
- À partir de quel mois vous passez sous votre seuil de sécurité ?
Le prévisionnel vous dit tout ça, avant que ça ne vous tombe dessus.
Et ce n’est pas juste pour les “grandes décisions” :
- Renégocier un crédit
- Lancer un nouveau service
- Embaucher un apprenti
- Louer un local plus grand
… tout ça peut être simulé avant d’agir.
Les erreurs qu’on voit (trop) souvent
Quand j’accompagne un dirigeant, je regarde comment il décide. Et souvent, je retrouve ces réflexes risqués :
- Ne pas budgéter les charges cachées (TVA, cotisations, petits frais bancaires…).
- Embaucher en pensant que “ça se paiera tout seul”.
- Se rassurer avec un bon chiffre d’affaires, sans voir que la marge fond.
Résultat : le compte bancaire semble bon pendant un temps… puis ça se tend d’un coup.
Et quand ça devient visible, il est déjà trop tard.
👉 Vous voulez voir où vous en êtes ?
Voici comment on procède chez DG Conseil 33 :
https://dgconseil33.fr/a-propos
Le pilotage : une méthode simple, adaptée aux TPE
Avec mes clients, on fait les choses dans l’ordre :
- On pose vos objectifs concrets : rémunération, marge cible, investissements.
- On analyse votre activité et vos coûts fixes réels.
- On bâtit un prévisionnel complet : mois par mois, ligne par ligne.
- On simule vos décisions : “Et si j’embauche ? Et si je perds un chantier ?”
- On ajuste en temps réel chaque mois.
C’est concret, c’est visuel, et surtout, ça vous aide à décider plus sereinement.
Dirigeants de TPE : ce que vous gagnez
Le bon prévisionnel, ce n’est pas un tableau Excel qu’on regarde une fois.
C’est votre cap. Votre filet de sécurité. Votre levier de croissance.
Avec ça, vous pouvez :
- dire non à un chantier pas rentable,
- dire oui à une embauche en toute confiance,
- préparer une demande de financement solide,
- retrouver de la visibilité sur les mois à venir.
🛠 Je travaille avec des artisans, des TPE de service, des commerçants…
Pas besoin d’être une PME ou de faire 1 M€ de chiffre pour piloter intelligemment.
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Faisons un point ensemble :
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